"Car le ciel et la mer, la mer et le ciel, pesaient comme un fardeau sur mes yeux fatigués.
Et les morts étaient étendus à mes pieds"

Taylor Colerige "La complainte du vieux marin"

My books

Quand les oiseaux s'étaient tus

Publisher :Editions Du Masque (Lattés)

Genre :Crime & Thrillers

Release: 17/05/2017

Thriller de 450 Pages. Port Scott mars 2017. Un promontoire de basalte noir perdu dans les eaux de l’Antarctique, un monde de glace et de roche battu par les vents et la mer, qui s’enfonce chaque jour un peu plus dans la nuit. Ici reposent les membres de l’expédition Scott, décédés dans leur tentative de rallier le pôle. Seuls Jim et Thorn, les gardiens du phare y affrontent les rigueurs hivernales, retranchés dans une complète solitude. Lorsque Thorn trouve la mort dans un accident, Jim doit...

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Cavaliers seuls

186 pages. Il y a des personnages d’ombre et de mystère que la lumière accroche. Des révoltés, des filles parfois trop...

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Inspiration musicale

https://open.spotify.com/user/1147593381/playlist/7yUcvgsLY3YssQ51WGqLyJ

Playlist Port Scott (spotify)

Je travaille souvent en musique. Si les moments de réels inspiration sont d'un parfait silence, la couleur musicale est un reflet de l'imaginaire qui inspire mon univers littéraire.

Biography

Fred Houel

Une histoire s'inspire souvent du hasard. Des morceaux de soi sur un bout de verre bleu, une pièce qui tourne sur un coin de table, une idée soudaine; qui vous transperce, souterraine et lumineuse.

Rien ne me destinait à l’écriture, sauf que j’ai toujours aimé les histoires. Enfant, j’habitais des châteaux de papiers, et parmi ces bouquins qui s’empilaient dans le plus grand désordre de ma chambre, Gary, Giono et Djian sont devenus des compagnons de route inséparables.

Et puis je me suis mis à raconter des histoires moi aussi. Dans les territoires urbains, commodes et oppressants, jusqu’aux terres désolées de l’antarctique, de glaces et de solitudes; j’ai trempé la plume dans mon imaginaire. L’imaginaire est notre liberté. Dans un monde où l’on tente trop souvent d’étouffer sa voix, la fiction est un contrepoison. Et bien sûr, la fiction est un mensonge, mais un mensonge qui n’a d’intérêt que lorsqu’il est sincère.

Je crois qu’il faut écrire des livres qui nous ressemblent, de drôles d’histoires, des tendres et des terribles, pleines d’espoir et de tragique. Qu’importe, tout ce que j’aime est là ; vous raconter une histoire.

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